Max Marcon, fondateur du Judo Club de Bourg-lès-Valence, décoré de la Médaille de la Ville
Publié le lundi 16 Octobre 2023 - Temps de lecture : ~2 min.
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Max Marcon, fondateur du Judo Club de Bourg-lès-Valence, décoré de la Médaille de la Ville
Samedi 14 octobre, Max Marcon s’est vu remettre des mains de Madame le Maire, Marlène Mourier, la Médaille de la Ville, en présence de nombreux proches, membres de sa famille et connaissances, en récompense de plus de 50 années d’engagement au service de la vie associative de la commune.
Indissociable du Judo Club de Bourg-lès-Valence qu’il a fondé en 1969, Max Marcon en a assuré les entraînements durant de nombreuses années. Sous sa houlette, le club s’est développé jusqu’à devenir une véritable institution dans le paysage associatif bourcain. Comptant aujourd’hui plus de 250 licenciés, il a formé pas moins de 220 ceintures noires, dont parmi elles, une dizaine de professeurs exerçant partout en France, ainsi que quelques beaux palmarès, à l’image de Florine Belle, Championne de France cadette en 2010, Astrid Tafankejian, Championne de France 3e division en 2019, Guillaume Aubert, Champion de France 3e division en 2023, l’été dernier, ou encore Loïs Léger, actuellement membre de l’équipe de France de parajudo qui disputera les prochains Jeux paralympiques à Paris.
Si son fils Dorian a repris le flambeau en tant qu’entraîneur et directeur technique depuis une douzaine d’années, Max Marcon n’en demeure pas moins impliqué dans la vie du club, tout comme son épouse Angéla qui n’est autre que sa Présidente depuis près de 20 ans.
Connu et apprécié de tous, Max Marcon a par ailleurs été amené à exercer ses compétences d’entraîneur bien au-delà du Judo Club de Bourg-lès-Valence. Il a notamment donné des cours de judo pendant 18 ans à des élèves en situation de handicap au sein du CAT de Beauchastel et était responsable des clubs de Vernoux-en-Vivarais et du Cheylard.
À Bourg-lès-Valence, il a également assuré la préparation physique des athlètes de nombreux clubs de la ville :celle des coureurs du Sprinter club pendant 7 ans, celle des rugbymen de l’US Rhône XV pendant 10 ans, celle des jouteurs de l’Espérance nautique pendant 15 ans, ou encore, celle des Bourcaines sélectionnées pour participer au Championnat du monde de twirling bâton.
Un parcours riche et foisonnant, dont la primauté accordée à l’humain et au lien social a toujours constitué le fil rouge.