11e édition des Prix de l’ACEtylène
Publié le jeudi 09 Février 2023 - Temps de lecture : ~2 min.
Actualités
Prix de la conception lumière extérieure et paysager 2022
Parc de l’île Girodet, Bourg-Lès-Valence, Drôme
Prix de l’ACEtylène 2022
- Conceptrice lumière : Agathe Argod, Scène Publique, Marseille
- Paysagiste : MDP Michel Desvigne Paysagiste, Eric-Pierre Menard
- Architecte : Ney & Partners
Jeudi 19 janvier, dans le cadre de la 11e édition des Prix de l’ACEtylène, l’Île-Parc Griodet s’est vu décerner le Prix 2022 de la conception lumière extérieure et paysager.
À l’initiative de l’Association des Concepteurs lumière et Eclairagistes (ACE), dont le but est de promouvoir le matériau lumière et la profession de concepteur lumière et éclairagiste indépendant, les Prix de l’ACEtylène récompensent chaque année des projets d’éclairage et de conception lumière qui contribuent particulièrement à la mise en valeur d’un lieu, d’un espace public ou d’une architecture en Europe.
Pour réaliser l’éclairage de l’Île-Parc Girodet, sa conceptrice, Agathe Argod, gérante de l’agence de scénographie urbaine Scène Publique de Marseille, s’est inspirée de la beauté du site au bord du Rhône et de la qualité des aménagements pour développer un projet minimaliste, sobre en énergie et valorisant la présence du végétal.
« Un parc ne s’éclaire pas comme un trottoir de centre-ville. L’éclairage participe au thème de l’île-parc en valorisant la présence du végétal et en veillant à limiter son impact sur l’environnement. »
Agathe Argod, Scène Publique
Contribuant au rayonnement international de Bourg-lès-Valence, cette distinction de dimension européenne vient confirmer une nouvelle fois le haut niveau d’exigence et de qualité dont a fait l’objet la conception architecturale et paysagère de l’Île-Parc Girodet, havre de verdure et de nature aménagé sur 12 hectares.
« En premier lieu, il est proposé ici que les espaces les plus naturels du parc, au sud ne soient pas éclairés. Ce thème de la trame noire est aujourd’hui un incontournable suite à la prise de conscience des conséquences de toute présence lumineuse sur les espèces nocturnes. »
Agathe Argod, Scène Publique
